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dimanche 30 décembre 2012
Armes de pollution culturelle
Il est vrai que je ne peux pas prédire l'avenir, néanmoins je reste persuader que cette année 2012, restera une année très importante pour moi. En effet j'ai appris en quelques mois ce que l'éducation nationale, la télévision et l'église n'ont su m'apporter après plusieurs années de bons et loyaux services. L'école qui a pour but de former, déforme. La télévision qui a pour essence d'informer, désinforme et l'église qui est censée élever spirituellement endort, c'est le monde à l'envers.
L'école, ce camp de concentration ou l'on apprend des choses dont la plupart ne serviront à rien. Ce que l'école m'a appris ne me sert aucunement dans ma vie de tous les jours. C' est un lieu ou l'on apprend la soumission au système, la créativité ne peut s'épanouir en ce lieu. Il curieux de remarquer qu'une fois l'esclavage aboli les jeunes esclaves ont été conduits à l'école. Cette dernière est un atout majeur du système, elle fabrique des moutons. Elle façonne et conditionne l'africain à travailler pour le système, il ne doit surtout pas le remettre en cause. Avec le fouet l'africain travaillait sous la contrainte, mais avec l'école c'est lui qui vient frapper à la porte du maître en espérant trouver la grâce Le fait d'avoir étudié dans de grandes et prestigieuses écoles ( occidentales forcément ), fait que l'on peut être le meilleur serviteur du système, vu que l'on dira partout ce que ce dernier souhaite. Mais l'on peut être à l’inverse être un danger pour se dernier vu que on le connait bien. La encore le système ne fait rien par hasard, en effet l'école se charge d'introduire une seule et unique vision du monde, c'est un lieu d'aliénation culturelle que je qualifie de pollution culturelle. On montre à l'africain le monde avec le ressenti et les yeux occidentaux. On l'infériorise et on lui apprend surtout à servir les intérêt de l'occident, sachant que ces derniers sont très souvent antagonistes aux siens. Le fait de voir l'histoire à travers des rétines occidentales le conduit à minimiser les crimes dont il a été victime ainsi que les conséquences de ceux ci. Il est évident que le braqueur et le braqué puissent avoir un avis différent sur le braquage mais dans ce cas, on voit le braqué faire l'éloge du braquage dont il a été la victime, érigeant ainsi le braqueur au rang de héros je vous l'avez dis c'est le monde à l'envers. L'ignorance de son histoire pousse l'africain ( même parfois diplômé ) à demander à son bourreau de revenir, ce qui est quand même invraisemblable. Le comble est que même en faisant de longue et brillante étude en Afrique, on sort du système scolaire sans connaitre l'histoire de notre continent au mieux on en sort avec la vision de nos persécuteurs.
Dans le monde scientifique, la télévision se voit attribuer très peu de vertus. On lui prête le fait d'amenuiser la concentration, d'appauvrir le langage ( donc d’abêtir et d'abrutir le téléspectateur ), de faire l'apologie du sexe et de la violence, de rendre fainéant, manipuler et tromper les gens, .... les charges sont énormes et nombreuses. La télévision devient le prophète des temps modernes, son message devient comme celui du Christ, vu que tout ce qui sort de la télé est vrai avec un avantage de poids sur les évangiles, les images , celles ci semblent être en parfait accord avec la réalité. Même si internet lui prend des adeptes il n'en demeure pas moins qu'elle continue de pervertir et maintenir dans l'ignorance des générations entières. L'africain s'abreuve à des sources européennes, qui lui sont par essence hostiles, voici la un très bon pollueur culturel. Si à l'école il apprend qu'il n'a rien apporté à la civilisation et que sans la bienfaisance et la bienséance de l'occident il redeviendrait cannibale avec la télévision il le voit. Cela ne peut que le pousser à se voir minable, à augmenter son admiration pour l'occident, qu'il décrit souvent comme le lieu qui précède le paradis. Des lors naît très vite l'envie de quitter l'enfer pour rejoindre les contrées pré-paradisiaques. L'occident utilise cet arme pour asseoir sa suprématie c'est l'un des plus grands façonneurs d'esprit et par conséquent l'un des plus gros pollueurs culturels. Tout comme l'école, la télévision met la vision eurocentriste du monde au rang d'universel. La télévision passe par des programmes plus anodins, innocents ou ludiques pour polluer par exemple les dessins animés, les films, les clips de chansons, la publicité, les documentaires, les émissions... La télévision a ce pouvoir divin de transformer le loup en agneau et l'agneau en loup, comme le disait si bien Malcom X "si vous n'êtes pas vigilants, les médias arriveront à vous faire détester les opprimés et aimer ceux qui les oppriment". Elle arrive à attirer et capter l'attention du spectateur sur des sujets qui n'en valent pas la peine, c'est de la diversion, par exemple en France la naissance de la fille de Sarkozy et la polémique sur son prénom, dans le même temps des milliers des français perdaient leur emploi, en ne parlant que de cette naissance les journalistes occultes par exemple la vraie situation économique de la France qui est un vrai sujet. D'ailleurs les médias occidentaux que l'africain affectionne tant ne lui montre pas comment ses frères servent de cobayes pour la médecine occidentale. Le drame encore une fois c'est que l'africain voit le monde à travers la télévision de son bourreau, en espérant voir le monde sous son meilleur jour. Aussi il faut ajouter que les médias africains puisent leurs informations chez Reuters ou encore l'AFP des agences d'informations occidentales. L' infériorisation de l'africain s'amplifie car elle se multiplie avec celle orchestrée par l'école coloniale ou occidentale. Ça se saurait si une souris pouvait trouver l'amour ou la protection entre les pattes d'un chat.
Si tu veux tuer un peuple tue son Dieu. L'apport de l'islam et du christianisme ne sont pas anodins, cela écarte l'africain de sa spiritualité ancestrale, en somme l'affaibli cruellement. Lorsque la chine a fait ses décolonisations ( anglaise et japonaise ), celle ci à récupérer son Dieu, sa langue, sa culture en bref son authenticité. L'africain ne veut se débarrasser de ses polluants les plus nocifs, ces derniers ont diabolisés nos pratiques ancestrales au point ou l'africain renie sa spiritualité. Il est tout de même curieux de voir que les japonais et les indiens d’Amérique reconnaissent les origines africaines de leur spiritualité. L'islam et le christianisme endorment l'africain physiquement, psychologiquement et surtout spirituellement, ce dernier ne peut entreprendre sans l'aval de ces dieux importés. Ces religions créent de gros problèmes dans nos sociétés, des familles qui se divisent sous prétexte qui l'y aurait des sorciers dans la famille, des enfants abandonnés car étant reconnus ou soupçonnés d’être sorcier, la remise en question disparaît peu à peu, oui, un échec est l'oeuvre du diable ou une épreuve du seigneur, une réussite est forcément l'oeuvre ou la volonté de dieu. Du coup la fainéantise et la léthargie peuvent ainsi s'installer en lieu et place du travail, de l'effort et de la persévérance. Oui pour réussir une activité il faut multiplier les louanges et les prières à l'endroit de ces dieux miséricordieux. Il faut multiplier les veillées de prières ou les pirouettes à la mosquée et ensuite réviser pour avoir son bac car tout se trouve dans le creux de la main de cet être si bon dénommé dieu. Chaque religion prétend détenir LA Vérité, elle se caractérise par une intolérance incroyable envers ceux d'obédience différente, ce qui entraîne des heurts entre chrétiens et musulmans comme récemment au Nigéria. Avec ces deux somnifères spirituels, l'occident peut écraser, dominer, faire de l'africain un serviteur docile, ce dernier ne saurait se révolter car le dieu miséricordieux agira un jour pour lui venir en aide. L'africain qui baigne dans l'islam trouve la force nécessaire pour lutter et dire non, se montrer hostile à l'occident, quand celui ci ose égratigner le dieu musulman. Son frère chrétien ne peut se révolter contre l'occident car le christianisme est une religion occidentale, de plus le chrétien passe son temps à prêcher la "bonne parole" qu'à réfléchir sur la situation de l'Afrique. Néanmoins on peut constater que l'africain n'a pas oublié totalement ses ancêtres car lorsqu'il est submergé par les problèmes il laisse le chapelet ne se tourne plus vers la mecque mais court entrer en contact avec ses aïeux. Une fois les problèmes réglés il remet les pieds à l'église ou à la mosquée, c'est ce qui poussait le président Houphouet-Boigny à dire " l'Afrique noire est à 60% chrétienne, 40% musulman et 100% animiste". Je conclurai sur cette citation de Jomo Kenyatta "Ils (les britanniques) avaient la Bible et nous la terre. Ils nous ont appris à prier les yeux fermés. Quand nous les avons ouverts, nous avions la Bible et eux la terre".
DETCHISSAMBOU Mbifani
lundi 19 novembre 2012
"La sécurité de l'Europe est en jeu au Mali", Ministre français de la défense
Comment
se fait-il que lorsque des criminels coupent, au nom d'un certain
islam, des mains et des pieds aux gens au Mali, les intérêts de l'Europe
seraient en jeu?.... Pourquoi des mausolées détruits et des coups de
fouet administrés aux nègres qui ne sont "pas assez entrés dans
l'histoire" au Mali constituent-ils une menace pour la sécurité de
l'Europe? Eh bien vous allez comprendre.
Ayant
refusé de nous organiser pour acquérir la capacité de lire les
évènements et entre les lignes et ainsi savoir de quoi il est question
et comment nous positionner, voici ce que dit Yves Le Drian, ministre
français de la défense dans Libération: "Nous avons appelé l’attention
de nos partenaires sur le fait que la sécurité de l’Europe est en jeu au
Mali. Les Britanniques et les Allemands ont répondu présents. Nous
avons alors mandaté Catherine Ashton pour qu’elle établisse un concept
d’opération, dont nous discuterons le 19 novembre à vingt-sept. Au Mali,
ce n’est pas la France qui va aider les Africains à mener cette
opération, mais bien l’Europe...On ne peut pas laisser s’installer un
sanctuaire terroriste majeur à nos portes." Voilà qui est clair: LA
SECURITE DE L'EUROPE EST EN JEU AU MALI. Ceci pour plusieurs raisons.
Mais comme Yves Le Drian ne mentionne pas ces raisons, nous allons le
faire à sa place:
1-
La sécurité de l'Europe est en jeu au Mali parce que toute la région
sahélo-saharienne est en reconfiguration. L'idée étant de morceler
davantage l'espace pour mieux le contrôler et maîtriser ses ressources:
En 2011, on a eu la naissance du Sud Soudan sous l'instigation du trio
Israël, USA et Europe avec l'acceptation de la Chine qui a réussi à
sauver sa part d'approvisionnement en pétrole en s'accrochant au Soudan
de Béchir. En 2012, on est allé dans le même sens au Mali avec le
squelettique Azawad. En toile de fond, l'or et bien d'autres ressources.
2- La sécurité de l'Europe est en jeu au Mali parce que pas loin de là
l'Europe (l'Allemagne en tête) réalise actuellement un énorme projet
d'installation de panneaux solaires géants appelé DESERTEC. Ce parc
solaire fournira de l'électricité à l'Europe gratuitement. Donc, il faut
faire en sorte que cet espace soit sécurisé.
3- La sécurité de l'Europe est en jeu au Mali parce que, des orpailleurs
français appelés des chercheurs avaient découvert en début de cette
année 2012, de gigantesques réserves d'eau dans le Sahara. La guerre de
l'eau qui se déroule actuellement sous nos yeux dans le monde et qui va
s'accentuer eu égard à la rareté vers laquelle on se dirige pousse
l'Europe à parler de sa sécurité au Mali.
4- La sécurité de l'Europe est en jeu au Mali parce que la France qui
n'a pas d'uranium sur son sol est quand même le premier exportateur de
l'énergie nucléaire au monde. Pourquoi? Tout simplement parce que la
France dispose sur sa préfecture du NIGER des mines gigantesques
d'uranium qu'elle exploite depuis 60 ans bientôt gratuitement. Une mine
énorme est découverte à Imouraren au Niger. Ce qui a poussé AREVA à
investir actuellement au moins 1,5 milliards d'euros en vue de racler
proprement cette mine. Des centaines de français et d'européens affluent
actuellement dans le coin où ils sont en train de construire une sorte
de ville minière. Les prises d'otage et autres révoltes armées peuvent
gêner un peu la chose. La Chine n'est pas loin non plus de là. Donc,
l'Europe a ici aussi sa sécurité en jeu.
5- La sécurité de l'Europe est en jeu au Mali parce qu'il faut que
l'Europe démontre à ses ressortissants qui aiment le tourisme exotique
que leur sécurité est et sera garantie un peu partout, notamment dans
cette région.
6- La sécurité de l'Europe est en jeu au Mali parce qu'après avoir armé
et utilisé ces islamistes pour détruire la Libye, la France surtout
espérait qu'avec ce "geste d'amitié", ces gars libéreraient ses
ressortissants. Il n'en est rien. Les gars disent que ce ne sont pas eux
qui détiennent les français, mieux qu'ils ne savent pas où ils sont
exactement. Parfois, ils disent "on va vous aider à les libérer" puis,
c'est Jacques où es-tu? La patience a ses limites. Même si les otages
risquent la mort, eh bien, mieux vaut une fin effroyable qu'un jeu de
nerfs sans fin, surtout que l'Europe sait ce qu'elle gagne par rapport à
la vie de 3 ou 5 otages.
Voilà quelques-unes des raisons pour lesquelles les bruits de bottes
résonnent là. Qu'on détruise des mausolées ou qu'on coupe des mains, des
pieds aux Nègres, ou qu'on viole les filles africaines sous l'autel
d'un islamisme poussiéreux là-bas, ça n'est pas le problème de
l'Occident. Au demeurant, comme ces faits criminels émeuvent la masse,
eh bien, les stratèges les mettent devant pour mieux atteindre, avec le
consentement tacite ou expresse des spectateurs que nous sommes, leurs
buts. En parlant uniquement de la sécurité de l'Europe avec la mise en
avant du TERRORISME qui serait aux portes de l'Europe, le ministre
français de la défense nous montre l'arbrisseau qui cache mal la forêt.
Quant au rôle des petits préfets tels que Blaise Compaoré, Alassane
Ouattara, Faure Gnassingbé...et leur CEDEAO, il a suffi qu'on lance la
bombe mensongère d'une alliance future avec les coupeurs de mains au
Mali avec leurs fameux opposants en vue de leur ravir leur trône pour
qu'ils enfilent leurs costumes de petits chefs de guerre. Nul autre que
Ouattara, le préfet du territoire de Côte d'Ivoire ne symbole mieux ce
petit spadassin au garde-à-vous. On lui a dit que les partisans du
président Laurent Gbagbo "sont en contact avec les islamistes" et
qu'après le Mali, cette mythique alliance marcherait sur son territoire.
Cela a largement suffi pour le mobliser. Ces gens là également, ce
n'est pas les mains et les pieds coupés des Africains du Mali qui les
préoccupent. Si ces gars là étaient des "humanistes" ou des Africains de
coeur, on l'aurait su. Eux-mêmes sont de grands massacreurs des peuples
qu'ils régentent au profit de qui on sait. Qu'est-ce qui mobliserait un
Blaise Compaoré assassin de son compagnon d'armes, Thomas Sankara et de
bien d'autres dont Norbert Zongo? Des petits mains coupées au Mali?
Faure Gnassingbé, le tueur, héritier du trône qu'il conquit en 2005
après avoir sacrifié au moins 1000 personnes et qui depuis lors
assassine et qui, par sa soldatesque, fait régulièrement ouvrir le crâne
aux populations qui manifestent contre lui? Ou bien, est-ce Alassane
Ouattara, le boucher transporté dans les chars français encadrés par
l'ONU qui serait offusqué par des pieds coupés et des mausolées
détruits? Ou encore est-ce Soro Guillaume, l'éventreur, en bon chrétien
qui n'a jamais vu couler une goutte de sang qui serait révolté de voir à
la télévision pour la première fois de sa vie de moine isolé des
mondanités des gouttes de sang? Allons! Allons!
KPOGLI Komla.
Web. http://lajuda.blogspot.com/Il ne faut pas compter sur la presse française pour dire l'évidence
Il aura fallu que le magazine The Economist publie sa Une défavorable au gouvernement français pour que ce dernier se braque...
On nous prévient depuis longtemps. Les Jacques Sapir, Pierre Jovanovic ou Alain Soral répètent depuis de longs mois que la crise n'est pas finie. Pire, que la fin d'année sera terrible. A 45 jours de 2013, on devrait sans doute commencer à les écouter. The Economist, loin d'être un magazine subversif, n'y va pas par quatre chemins.
Selon l'hebdomadaire britannique , «la France pourrait devenir le plus grand danger pour la monnaie unique européenne», et «la crise pourrait frapper dès l'an prochain». The Economist est particulièrement virulent à l'encontre du nouveau président, François Hollande, et de son Premier ministre Jean-Marc Ayrault. «Ni M. Hollande ni M. Ayrault ne semblent être le genre de leader suffisamment courageux, capable d'imposer des réformes à l'encontre d'une opposition généralisée», explique-t-il dans un communiqué. Face à ces saillies, Arnaud Montebourg, devenu monsieur excuses du gouvernement, tente de ridiculiser le journal libéral-conservateur en déclarant ce matin sur Europe 1 que : "Franchement, The Economist ne s'est jamais distingué par son sens de la modération. C'est le Charlie Hebdo de la City". Se rend-il compte qu'il fait un compliment à l'hebdomadaire autrefois satyrique d'extrême-gauche?
Parce que The Economist n'en est pas à son coup d'essai. En même temps, il est difficile de résister à la moquerie de la nouvelle équipe qui dirige la France depuis le mois de mai dernier. Comment ne pas trouver inefficace (c'est un euphémisme) les diverses mesures prises par le gouvernement sur le plan de l'emploi? Si tant qu'il en existe! En revanche, des projets de loi qui n'intéressent qu'une partie infime des Français, ça, les socialistes adorent. "Mariage gay" et IVG remboursé à 100%, deux sujets capitaux, sont déjà entérinés. En 2013, on aura droit à la loi sur l'Interruption Volontaire de la Vie, sur le mariage entre gens d'espèces différentes ou encore sur une obligation qu'il fasse beau en été.
Une fois de plus, les socialistes se couvrent de ridicule. En refusant de voir la vérité en face, la situation dramatique que vivent les Français, le gouvernement Ayrault mène à sa propre perte. Malgré tout, cela doit être difficile de se rendre compte du quotidien de ses concitoyens, quand on est habitué depuis des années, à ne payer ni logement, ni repas, ni vêtements...
Source : newsring.fr
Des Français de plus en plus pauvres… La dissolution de la famille ne devrait pas arranger les choses !
À force de taper sur la famille, cellule de base de toute société digne de ce nom, c’est toute la France qui trinque…
Pas besoin d’être musulman, chrétien, juif, agnostique ou autre, pour le constater ; juste d’être humain. Car les statistiques, malheureusement, suffisent. Un enfant de divorcés réussira deux fois moins bien à l’école que son “homologue”, ayant eu le privilège de grandir dans une famille unie.
Idem pour les statistiques de la délinquance juvénile… Ainsi, des policiers nous ont dit : « Bien sûr, il n’y a pas de fatalité, mais le voyou qu’on arrête, quatre fois sur cinq, il est élevé par une mère seule, abandonnée par son mari. Pour subvenir aux besoins de ses enfants, elle part tôt au travail et rentre tard pour gagner des clopinettes… »
Loin des sondages “ethniques”, des “Mouloud” ou des “Kevin”, nous en arrivons seulement au drame national d’une institution familiale consciencieusement mise à bas depuis quelques décennies : père parti sous d’autres cieux, quand il n’est pas tragiquement au chômage. Les infortunés “Kevin” et “Mouloud” se retrouvent donc dans le même sac : fin du respect de parents existant de moins en moins, irrespect aggravé par une société de plus en plus consumériste, dans laquelle “l’avoir” est plus important que “l’être”.
Car pour exister dans ce nouveau désordre mondial tendant à vous faire échapper à l’ancien ordre du sens commun, prière de consommer le futile pour mieux oublier “l’essentiel” : vêtements de marque, téléphone dernier cri, Gay Pride et aliments halal mis en boîtes et sous cellophane. Et pendant ce temps, les parents, ou le peu qu’il en reste, n’ont plus qu’à pleurer ; quand parents il y a encore. Avec les conséquences plus hauts évoquées…
Et on en oublierait presque l’autre volet, soulevé par le dernier rapport du Secours catholique, soit la paupérisation grandissante de la population française. En effet, qui dit divorce induit que pour survivre, c’est double loyer, double canapé, double électro-ménager et, au final, double tout. Résultat, ceux qui autrefois ne travaillaient pas vivaient mal – normal –, alors qu’aujourd’hui, ceux qui ont la chance d’avoir un emploi ne vivent pas mieux. Jadis, Charles Aznavour chantait : « Emmenez-moi au bout de la Terre. Emmenez-moi au pays des merveilles. Il me semble que la misère serait moins pénible au soleil… »
En écho, on lui répondra qu’une famille unie, malgré ses inévitables conflits et fêlures, sera toujours plus apte à affronter l’adversité que celles fondées par ceux qui se marient trop vite et divorcent trop tôt. Soit un mariage, pour ceux qui veulent encore s’unir devant Dieu et les hommes, qui vole en éclat au bout de trois ans en France et deux dans les proches environs de notre capitale…
Il ne s’agit évidemment pas là d’un débat de circonstance, affublé de tel ou tel oripeau moral ou religieux, mais tout simplement d’une simple question de civilisation, sachant que la cellule familiale demeure base de toute société humaine digne de ce nom
Nos ancêtres se posaient finalement moins de questions, pour lesquels l’évidence s’imposait, même avant les trois religions abrahamiques et sûrement avant celle de nos très lointains ancêtres des cavernes, évidence en question qui, au moins, protégeait la société d’alors au chaud des cavernes… À en lire et voir les actualités, le comble consiste à observer que les mêmes qui mettent à bas cette famille consubstantielle de notre humanité commune, tentent aujourd’hui de nous refourguer une famille new-look, avec « parent 1 » et « parent 2 » au lieu du traditionnel « papa » et « maman »… Le caricaturiste aura toujours le droit de singer l’œuvre, mais ne sera jamais l’artiste.
Source : filsdefrance.fr
dimanche 18 novembre 2012
L'oeil du pirate: L'heure est au réveil
L'indépendance est l'état auquel nous, africains, aspirons, pour ce
faire nous devrons reprendre le contrôle de notre espace, de notre politique
économique (budgétaire et monétaire), avoir une défense plus efficace, accorder
plus d'importance à nos langues, réapprendre notre histoire et notre culture
bref se "désoccidentaliser" et opter pour un retour aux sources. Mais nous ne
l'entendons pas de cette oreille, en effet, nous voulons l'indépendance sans
pour autant s'affranchir du dictât occidental. En d'autres termes nous ne
voulons en aucun cas se défaire des règles dictées par les colons.
Etant nourris à
l'école coloniale et s'abreuvant aux médias occidentaux, nous ne pouvons
comprendre que nous sommes encore sous l'emprise de nos maîtres D'ailleurs ces
deux sources qui nous inculquent la culture et les valeurs occidentales, nous emmènent
logiquement à brûler notre vraie culture et nos vraies valeurs car celles-ci
différent de celles venant du nord de la méditerranée. Mieux encore, à
considérer nos langues comme des sous langues, étant rabaissées au rang de
dialectes ou de langues vernaculaires. Aussi l'on peut s'apercevoir, que nos
frères qui continuent à perpétuer notre culture et nos rites ancestraux, sont mal
vus, par ceux ayant embrassé la modernité, les qualifiant ainsi d'arriérés
disant que ce sont des gens qui ont un mode vie archaïque.
Nous ne nous
rendons même pas compte des contradictions que l'on materne. J'entends par ci
par là des frères dirent "je suis fier d'être noir" ou encore "Africain
et fier de l'être". Pourtant ce sont les mêmes qui passent leur temps à s'éclaircir
la peau, ce sont eux qui préfèrent les prénoms du colon car ceux de nos ancêtres
ils les trouvent laids. Ils refusent d'arborer nos beaux costumes africains, je
les vois implorer la démocratie à croire qu'il y a que sous ce régime que l'on
peut vivre heureux, ils ne parlent plus nos langues, ne célèbrent que les fêtes
païennes et religieuses qui ont été importées, se référant jamais à nos
penseurs ni à notre histoire (à croire que nous n'en avons pas)... à part ça
ils sont " fier d'être africains ". Je dirais plutôt
"afro-européen".
Depuis quelques
siècles, l'homme noir est devenu le dernier de la classe, il se met à rêver de
croissance et de développement comme son homologue blanc. Toujours est- il, il
pourrait tout mettre en œuvre afin d'atteindre la posture tant espérée.
Malheureusement, il opte pour la pleurniche (traite négrière,
colonisation,...), se complait dans l'état du malade où tout le monde vient
pleurer à son chevet. Il se remet à Dieu et aux proverbes africains, espérant
ainsi voir s'opérer des miracles. La grande méconnaissance de sa culture, de
ses valeurs et sa grande histoire favorise cette léthargie consternante et aberrante.
Il se tourne vers les élites occidentales, en espérant niaisement que le salut
lui se sera apporté par ses bourreaux.
Plus que jamais il
va falloir se réveiller, ensuite se lever si nous voulons avancer dignement,
pour ce faire le retour aux sources s’impose. Cela est la seule issue, pour
retrouver notre intégrité économique, sociale, culturelle, intellectuelle et
spirituelle, en d’autres termes pour retrouver notre Liberté redevenir nous-mêmes.
La jeunesse africaine doit être emmené à prendre conscience de l’état de notre
mère patrie, cette prise de conscience sera synonyme du réveil, qui déclenchera
la marche vers l’indépendance qui ne trouve son salut nulle part que dans un
retour aux sources.
DETCHISSAMBOU Mbi-Fani
mardi 13 novembre 2012
L’église catholique a perdu le pouvoir temporel exclusif, mais elle a conservé ses réseaux d'influence et de planification globale sur le long terme.
Pour ma part, sans jugement sur l'aspect religieux, j'estime également qu'au regard de l'histoire de cette institution depuis le putsch de la Rome antique, il ne faut pas se leurrer quant à sa nature foncièrement politique et impérialiste. L'Eglise a simplement perdu (au moins en apparence) le pouvoir temporel exclusif, mais elle a conservé ses réseaux d'influence et de planification globale sur le long terme.
C'est comme si l'on se plaignait que l'OTAN reçoive les membres du CNT après la liquidation de Khadafi. Bien entendu, ce n'est pas le Vatican qui a mandaté ou soutenu M. Ouattara comme dans le cas Libyen, mais les esprits éclairés auront compris que s'il y a réception, c'est qu'il y a des éléments de convergence. Combien de dictateurs patentés modernes ont eu le privilège d'aller en ce haut lieu de la gouvernance mondiale?
Bien entendu, côté musulman, le rôle néfaste de l'Arabie Saoudite, du Qatar et de la Turquie dans les drames Libyens et Syriens nous invite à de profondes réflexions. Ceci étant, la religion musulmane n'est pas centralisée, et ces états ne représentent rien en eux-mêmes pour le Musulman (l'intérêt -- pour l'Arabie Saoudite -- est historique et lié au caractère sacré des lieux de pèlerinage). La cause est au coeur même de l'Islam, puisque le Musulman n'est assujetti qu'au Créateur, qui n'est pas humain et au-delà de notre entendement.
Lorsque l'on observe la situation prévalant au Mali, on ne peut qu'être méfiant vis-à-vis de certaines prétendue fraternités. Qu'il choisisse d'être musulman, chrétien, d'une quelconque religion ou athée, ce qui importe, c'est que l'Africain (comme tout Humain) ne assujettisse à aucun groupe humain, et par là-même préserve son libre-arbitre et sa capacité de réflexion et de décision sur les Questions du Monde.
D'ailleurs, à ce titre, côté musulman, il y a une large avance, puisque les sociétés Africaines ont adapté les aspects culturels de la religion à leur propre environnement, quasiment sans référence à des mentors étrangers. De la même manière, on constate entre autres que la plupart des prénoms musulmans d'origine Arabe ont été africanisés (idem pour les noms des prières, des jours ou des mois, ...). Ceci s'oppose par exemple à la manière dont le christianisme a remplacé les prénoms africains. A mon sens, un vrai christianisme Africain devrait ressembler à celui de l'Ethiopie, par exemple.
Bref, nous devons être indépendants dans tout ce que nous appréhendons. Même si nous devions débuter un domaine par la copie et le mimétisme, pour peu qu'il nous soit utile, nous devons ambitionner de le maîtriser, d'en bâtir une nouvelle catégorie et de surpasser à qui nous l'avons emprunté. C'est en cela que j'entreverrais la Reconquête Africaine.
Vive l'Afrique, vive l'autodétermination des Peuples et à bas l'impérialisme!
Par Salimou GASSAMA
lundi 12 novembre 2012
L’Allemagne craint l’effondrement économique de la France
Le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble aurait demandé au Conseil des experts économiques de son pays de réfléchir à des propositions de réformes économiques pour la France, craignant une chute de la deuxième économie de la zone euro et de ses conséquences sur le devenir de l’Europe dans son ensemble…
Malgré les démentis qui sont intervenus vendredi après-midi, le pavé dans la mare a été jeté ! Deux responsables s’exprimant sous le sceau de l’anonymat, ont ainsi expliqué à Reuters que W. Schäuble avait demandé aux « sages » de réfléchir à un rapport susceptible de donner des pistes de réformes pour la France avant qu’il ne soit trop tard…
Berlin s’inquiète en effet de la tournure des événements en France à la lumière des dernières décisions prises par le gouvernement Ayrault qui ne s’attaquerait pas aux réformes structurelles indispensables pour remettre le pays sur de bons rails budgétaires… De quoi manquer les objectifs de déficits l’an prochain et plonger l’Euro dans une nouvelle crise qui risquerait cette fois d’être fatale à la monnaie unique.
« Les inquiétudes s’accumulent en raison du manque d’action du gouvernement français sur la réforme du marché du travail », a estimé Lars Feld, un des membres du comité des sages, à l’agence Reuters.
« Le principal problème en ce moment, ce n’est plus la Grèce, l’Espagne ou la l’Italie, c’est devenu la France parce qu’elle n’a rien entrepris de nature à rétablir sa compétitivité, au contraire, elle va dans l’autre direction ! », a poursuivi Lars Feld. « Il faut à la France une réforme du marché du travail, c’est le pays de la zone euro qui travaille moins d’année en année, alors, qu’attendez vous comme résultat ? Les choses n’iront pas en s’améliorant, à moins que de vrais efforts soient déployés. »
Sources : Boursorama / Le Journal du Siècle
Italie: heurts à Naples entre policiers et manifestants contre la précarité
Des heurts ont éclaté lundi à Naples, dans le sud de l’Italie, lors d’une manifestation de plusieurs centaines de jeunes contre le travail précaire, organisée à l’occasion de la visite de la ministre du Travail.
Les manifestants, qui portaient une pancarte proclamant, en dialecte napolitain, « austérité et pauvreté allez-vous en » voulaient se diriger vers le site où était prévue une réunion entre la ministre italienne du Travail, Elsa Fornero, et son homologue allemande Ursula von der Leyen.
Des agents de police ont tenté de bloquer le cortège mais les manifestants, dont beaucoup de jeunes, étudiants et lycéens, ont répondu par des jets de pierres et de bouteilles contre les forces de l’ordre. Celles-ci ont riposté avec du gaz lacrymogène et ont chargé les manifestants, les obligeant à se disperser.
Les heurts ont fait 20 blessés parmi les contestataires, selon les organisateurs de la manifestation, tandis qu’un officier des carabiniers et deux policiers ont également été blessés, selon la préfecture.
Cette manifestation était organisée à l’occasion de la rencontre ministérielle italo-allemande sur le thème « Travailler ensemble pour promouvoir l’emploi des jeunes ».
Plus du tiers (35,1%) des Italiens de 15-24 ans étaient au chômage en septembre, soit 1,3% de plus qu’en août et 4,7% de plus qu’il y a un an, selon les derniers chiffres de l’Institut national des statistiques (Istat).
Sources : Libération / Le Journal du Siècle
Désespérée, une espagnole au chômage met ses organes en vente
Les cris de désespoir d’une Espagnole créent l’émoi. Cette chômeuse de 44 ans se dit prête à vendre les organes qui ne seraient pas nécessaires à sa survie afin de subvenir à ses besoins.
Une chômeuse espagnole, âgée de 44 ans, a annoncé dimanche proposer à la vente tous les organes qui ne seraient pas indispensables à sa survie pour se payer un logement pour elle et sa fille.
« J’ai d’abord mis en vente un rein, maintenant je propose aussi les cornées de mes yeux, un de mes poumons, un morceau de mon foie… Je vends n’importe quel organe de mon corps à qui peut le payer, et je fais cela parce que je suis tout simplement désespérée », a déclaré la quadragénaire dans une interview filmée et diffusée dimanche sur le site internet du quotidien El Mundo.
« J’ai besoin d’un logement (…) pour y installer mon foyer, dans un endroit digne », a-t-elle déclaré en indiquant être sans travail et souffrir d’une incapacité à 66 % à cause des mauvais traitements que lui a fait subir l’homme avec qui elle a vécu pendant 18 ans et qui veut maintenant la faire expulser de la maison où elle vit avec sa fille. « J’ai reçu un préavis d’expulsion pour ma fille et moi. Nous n’avons pas de famille, nous ne savons pas où aller », a expliqué la quadragénaire.
Selon El Mundo, la femme a publié il y a deux semaines une annonce sur Internet pour proposer ses organes à la vente.
« Je n’ai pas d’autre moyen pour essayer de sauver ma vie et celle de ma fille. Si avec le temps qu’il me reste à vivre je peux ainsi donner à ma fille la force qui lui permette de sortir de cette situation, bien sûr, je vends mes organes », a déclaré la quadragénaire en indiquant ne pas avoir fixé de prix.
Selon El Mundo, la femme n’a pas reçu d’offre pour ses organes, mais a déjà pris contact avec un médecin à Melilla (enclave espagnole sur la côte marocaine) dans la perspective d’un éventuel prélèvement.
« En Espagne, il est pratiquement impossible de faire un prélèvement d’organe suivi d’une transplantation sans que les autorités compétentes ne soient au courant », assure le quotidien espagnol, qui précise que la quadragénaire encourrait dans ce cas une peine de 12 ans de prison pour trafic d’organes.
Sources : Le Soir.be / Le Journal du Siècle
dimanche 11 novembre 2012
Ouvrez les yeux
Obama est réélu ... Certains sont heureux, d'autres moins, mais regardons la réalité en face voulez vous ?!
Obama et Romney ne sont que les deux faces d'une même pièce, d'un même système. Un système oligarchique, en aucun cas démocratique, dont les vrais décideurs tirent les ficelles, tapis dans l'ombre...
Et pendant que cette mascarade électorale a coûté des sommes astronomiques, financée par des multinationales et l’industrie bancaire, en majeure partie, les américains eux, sont de plus en plus nombreux à être jetés à la rue, expulsés par les banques.
Source: Ce que cachent vos médias
Obama et Romney ne sont que les deux faces d'une même pièce, d'un même système. Un système oligarchique, en aucun cas démocratique, dont les vrais décideurs tirent les ficelles, tapis dans l'ombre...
Et pendant que cette mascarade électorale a coûté des sommes astronomiques, financée par des multinationales et l’industrie bancaire, en majeure partie, les américains eux, sont de plus en plus nombreux à être jetés à la rue, expulsés par les banques.
J'entend déjà certains me dire :
"Obama est un super président avec un beau sourire Colgate et c'est toujours mieux que l'autre..."
C'est pathétique.
Comme pour Hollande et Sarkozy... Si vous êtes au restaurant et que vous avez le choix entre deux plats avariés, que vous êtes sûrs de tomber malade, vous mangez quand même vous?
Moi pas.
George Carlin disait : "Oubliez les politiciens ils ne servent à rien, ils sont mis là pour vous donner l'impression que vous avez la liberté de choisir... C'est faux! Vous n'avez pas le choix! Vous avez des propriétaires!"
http://www.dailymotion.com/ video/ xixip2_qui-dirige-vraiment-le-m onde_school
Pour ce qui est de Barack Obama, le "super président", que dire?
Cet homme, membre du Concil on Foreign Relations (CFR), a été mis en place, à la base, par les banques, il a couvert tout les vrais responsables de la crise, il est le prix Nobel de la paix qui a envoyé des dizaines de milliers de soldats au moyen orient, a reconduit le Patriot Act, il n'a jamais apporté aucune preuve de la mort de Ben Laden (nous avons plus d'éléments pouvant attester de l’existence du Père Noel ;)), il a accordé l'immunité à ces prédécesseurs pour empêcher toute nouvelle enquête sur le 11 Septembre 2001, Guantanamo existe toujours ainsi que de nouvelles prisons secrètes du même genre sur le territoire US, la NDAA va être étendue, la dette va exploser, la pauvreté également, la liberté et la démocratie vont continuer à être effilochées avec la complicité des médias et grâce au développement d'un état policier sans pareil pour museler la dissidence ...
Et pendant que ses concitoyens sont de plus en plus nombreux à sombrer dans la pauvreté et la misère... Barack Obama joue au basket!
Prendre le Monde entier pour des abrutis : "Yes We Can !"...
La Vérité Sera Dure À Entendre... Passez Le Message :
http://www.youtube.com/ watch?v=q7O0Oh3Fhes
"Obama est un super président avec un beau sourire Colgate et c'est toujours mieux que l'autre..."
C'est pathétique.
Comme pour Hollande et Sarkozy... Si vous êtes au restaurant et que vous avez le choix entre deux plats avariés, que vous êtes sûrs de tomber malade, vous mangez quand même vous?
Moi pas.
George Carlin disait : "Oubliez les politiciens ils ne servent à rien, ils sont mis là pour vous donner l'impression que vous avez la liberté de choisir... C'est faux! Vous n'avez pas le choix! Vous avez des propriétaires!"
http://www.dailymotion.com/
Pour ce qui est de Barack Obama, le "super président", que dire?
Cet homme, membre du Concil on Foreign Relations (CFR), a été mis en place, à la base, par les banques, il a couvert tout les vrais responsables de la crise, il est le prix Nobel de la paix qui a envoyé des dizaines de milliers de soldats au moyen orient, a reconduit le Patriot Act, il n'a jamais apporté aucune preuve de la mort de Ben Laden (nous avons plus d'éléments pouvant attester de l’existence du Père Noel ;)), il a accordé l'immunité à ces prédécesseurs pour empêcher toute nouvelle enquête sur le 11 Septembre 2001, Guantanamo existe toujours ainsi que de nouvelles prisons secrètes du même genre sur le territoire US, la NDAA va être étendue, la dette va exploser, la pauvreté également, la liberté et la démocratie vont continuer à être effilochées avec la complicité des médias et grâce au développement d'un état policier sans pareil pour museler la dissidence ...
Et pendant que ses concitoyens sont de plus en plus nombreux à sombrer dans la pauvreté et la misère... Barack Obama joue au basket!
Prendre le Monde entier pour des abrutis : "Yes We Can !"...
La Vérité Sera Dure À Entendre... Passez Le Message :
http://www.youtube.com/
Source: Ce que cachent vos médias
vendredi 9 novembre 2012
Le billet vert, ou la fin d’un règne
Les États-Unis ont largement bénéficié de leur suprématie politique et économique depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, notamment grâce au rôle alloué au dollar en tant que monnaie de réserve internationale suite aux accords de Bretton Woods. Malgré cela, il semblerait que le billet vert souffre depuis quelque temps d’un manque de sollicitude de la part de ses partisans réguliers.
En effet, la Chine et le Japon ont récemment opté pour l’utilisation de leur devise respective dans le cadre de leur commerce bilatéral, de même pour les BRICS [Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud, ndlr] qui envisagent de recourir à leurs propres monnaies dans le cadre des échanges bilatéraux. La Chine et les Émirats arabes unis laissent entrevoir la fin des pétrodollars en abandonnant le billet vert pour leurs transactions pétrolières, cette tendance pourra se confirmer si d’autres pays du Moyen-Orient leur emboîtent le pas. L’Iran, de son côté, rejette la devise américaine à cause des tensions avec le pays de l’Oncle Sam, exigeant le règlement du pétrole en or plutôt qu’en dollar. Les Nations Unies quant à eux, laissent entendre clairement leur désir de voir la domination du dollar en tant que monnaie de réserve internationale, disparaître.
La population américaine subit également l’acharnement du sort, puisque quarante-cinq millions d’Américains ont déjà perdu leur logement, 20% d’entre eux ne font plus partie du circuit économique et un tiers d’États américains sont presque en faillite. L’investissement de fonds propres s’est évaporé et tout repose aujourd’hui sur la dette uniquement. A titre d’exemple, la production de 14 000 milliards de PIB, génère 50.000 milliards de dollars de dettes totale et 4 000 milliards d’intérêt par an.
Pour John Williams (Président FED San Francisco), la politique d’assouplissement monétaire de la Réserve fédérale vient en réponse aux difficultés liées à la croissance du produit intérieur brut (PIB) et au chômage. Toutefois, Ben Bernanke a rappelé dernièrement que « la politique monétaire n’est pas la panacée » aux problèmes de l’économie américaine, ce qui traduit bien le caractère désespéré de la situation financière des États-Unis…
Le renforcement de l’économie américaine passe aussi par la réforme fiscale, la discipline budgétaire et le développement extérieur. Il s’agit là d’éléments indispensables pour que les États-Unis ne se retrouvent pas en manque de liquidité et que les obligations souveraines, garantie de sécurité, continuent de susciter l’intérêt des investisseurs.
Cela étant dit, pour combien de temps encore le pays de l’Oncle Sam et son billet vert vont pouvoir « tenir » face à une présence de plus en plus insistante des marchés émergents ? Alors que l’épisode le plus important de l’histoire « moderne » de l’or s’est passé récemment avec le paiement en or des importations de pétrole Iranien par la Chine. D’autant plus que les évènements géopolitiques internationaux successifs, ne cessent de nous montrer la direction progressive du retour inéluctable de l’or comme base monétaire internationale.
La plus grande bulle spéculative de l’histoire que représente le billet vert arriverait elle à sa fin ? Le krach de la dette américaine et la fin du dollar comme monnaie de réserve internationale sera t-il l’événement prédominant de ce XXIe siècle ? Il serait néanmoins intéressant d’observer de près les moyens que vont probablement mettre en œuvre « ensemble » les démocrates et les républicains de la première puissance, une fois passée l’ébullition électorale pour tenter de sauver la face, provisoirement…
Source : gold.fr
jeudi 8 novembre 2012
De l’empire : la Françafrique
L’empire mondial semble apolitique du fait de ses prérogatives économico-financières, et géopolitiquement américano-centré de par sa puissance militaire. Mais dans ce projet de domination, qu’en est-il de notre France, « patrie des Droits de l’Homme », de sa mission universelle et de son indépendance stratégique ?
À l’ère Sarkozy, la question ne se posait pas : notre pays fut un caniche de luxe pour l’administration Obama : il faut voir comment il a mordu le molosse Kadhafi pour affirmer sa vassalité.
Auparavant, la participation à l’empire était plus complexe : suite à la Seconde Guerre mondiale, l’État français a tenté d’assurer sa place au niveau international, protégeant la francophonie sur les terres africaines pour contrer l’hégémonie grandissante de la culture anglo-saxonne dans le monde. Il crée alors une sphère d’influence en Afrique noire avec de nombreux présidents et dictateurs d’anciennes colonies mis en place et protégés par une nébuleuse d’acteurs économiques, politiques et militaires organisée en réseaux. N’hésitez pas à lire et relire François-Xavier Verschave qui a fait table rase des réseaux Foccart, Pasqua ou Mitterrand et rétabli la vérité quant à la mise en place des régimes de Bongo au Gabon, Eyadema au Togo, Biya au Cameroun, Sassou-Nguesso au Congo, Compaoré au Burkina Faso et Deby au Tchad.
De la sorte, la France conserva sur ces terres riches, où est entretenue la misère, un accès privilégié aux matières premières généreuses. Elle détourna aussi d’autant plus facilement l’Aide Publique au Développement au profit des grands partis ou dirigeants politiques français et africains. Cette néo colonisation mafieuse a favorisé la domination économique d’entreprises françaises comme Elf, Areva ou Bouygues par un pillage réglementaire et systématique…
Quatorze pays privés de souveraineté monétaire
Et d’ailleurs c’est toujours le même « fascisme » financier qui, en pleine crise de la dette et de l’euro, n’hésite pas à maintenir l’un des principaux mécanismes institutionnels de cette Françafrique : le contrôle monétaire par le franc CFA (Franc des colonies françaises devenu le Franc de coopération financière africaine ou de communauté financière africaine selon les pays concernés). Et celui qui contrôle la monnaie contrôle l’économie, et donc détient le pouvoir.
Depuis plus de cinquante ans, les décisions de politique monétaire dépendent de l’accord de l’ancien colonisateur. Soit quatorze pays africains (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée-Bissau et équatoriale, Mali, Niger, République du Congo, Rwanda, Sénégal, Tchad, Togo) n’ayant aucune souveraineté monétaire.
Qui pour crier au scandale ? L’affaire est si énorme qu’elle ne semble plus indigner personne… Pas une ligne dans tous les journaux ! Et pourtant il y aurait de quoi faire une quinzaine de révolutions !
À la base, le franc CFA fut instauré comme monnaie convertible pour faciliter les transactions dans l’ensemble des colonies de la zone franc. La parité fut fixée à partir de 1948 : 100 francs CFA équivalaient alors à 2 francs français. Le tout dans un esprit de coopération pour mieux aider les États nouvellement indépendants à gérer leur monnaie. C’est, en tout cas, ce qui est écrit dans les livres, car à regarder concrètement, l’histoire témoigne plutôt d’une dépendance des États de la zone CFA avec la France que d’une coopération.
Extorsion légitime
Avant 1973, l’intégralité des recettes – ou devises – des ventes extérieures de tous les pays de la zone CFA était centralisée – donc déposée – dans des comptes d’opération en France, autrement dit au Trésor public français. Après 1973, seulement 65 % de ces recettes sont confisqués par l’État français. Enfin, depuis 2005, 50 % de ces capitaux sont réquisitionnés.
Oui, oui, vous avez bien compris, encore aujourd’hui donc, la moitié des réserves de changes de 14 pays africains reposent sur un compte d’opérations au Trésor public français ! Véritable spoliation donc de la part de l’État français, ce qui oblige une grande partie de l’Afrique à s’endetter toujours plus à travers le monde via, par exemple, le FMI ou la Banque mondiale ! Et bien sûr toujours au nom de la convertibilité censée faciliter les transactions…
Objectivement, l’austérité n’a pu que s’accroître sur un continent qui est le dernier à en avoir besoin. Une spoliation doublée d’une dette, rien de tel pour contraindre les États ciblés à réduire encore et toujours les dépenses publiques : éducation, santé, subvention des denrées de première nécessité… Quand on sait qu’aujourd’hui la principale nature de l’action politique en Afrique est d’ordre sociale, on peut percevoir l’étendue des dégâts… criminels.
Avec l’Afrique, on n’est jamais déçu, quand on cherche pire, rien de plus facile à trouver : début 1994, dans l’ère Mitterrand-Balladur, sous la pression de la communauté internationale – l’Empire donc –, le franc CFA est dévalué de 50 % (donc 100 francs CFA valent alors 1 franc français). Soit disant pour rendre l’économie africaine encore plus compétitive et maintenir l’unité de la zone franc, histoire d’être toujours en règle avec le… FMI et la Banque mondiale !
Mais qu’est ce qu’un ajustement monétaire pour une économie sous-développée ?
Une dévaluation de 50 % c’est la garantie d’une dette publique qui va être doublée (déjà que, souvenez-vous, la moitié des devises vont directement dans le coffre du Trésor français). C’est aussi des importations plus chères (sachant que ces pays importaient avant tout des matériaux de construction, on comprend mieux la multiplication alors des logements précaires en bois par exemple). C’est enfin la fermeture des petites et moyennes entreprises. Bref, c’est la garantie du niveau de vie de la population qui ne cesse de régresser. Mais c’est toujours pareil avec les économistes : le sacrifice du présent est nécessaire au bonheur futur… Ce sont les chiffres qui le disent !
Pour finir le dossier, il faut rappeler que depuis le début, 1948 donc, le gouvernement français contrôle la BCAO et la BCAC, les banques centrales d’Afrique de l’Ouest et centrale, par son droit de vote déterminant et surtout son droit de véto quant aux orientations monétaires prises.
Tant que le franc CFA restera indexé sur l’euro via le Trésor français, la sujétion coloniale de l’Afrique n’est pas prête de s’achever. Autrement dit dès que la France tousse, c’est la pneumonie assurée pour l’Afrique…
Et Hollande dans tout ça ?
Il y a trois semaines notre chef de l’État aurait dit sa foi en l’avenir économique du continent. C’est ainsi qu’il voit se tourner la page de la Françafrique, pardi !
Mais vous l’aurez compris, notre cher président, en digne héritier de Mitterrand et Chirac, agira de manière sournoise mais très efficace. Et tout se passera sans que personne ne s’indigne… Regardez pour le Mali actuellement !
C’est que le Sarkozy nous avait habitué à autre chose, avec sa façon à l’américaine, assumée, franche : on envoie l’armée, on bombarde, on fait sauter les verrous et les résistances. Côte-d’Ivoire, Libye… Vous avez déjà oublié ?
Source : diktacratie.com
mercredi 7 novembre 2012
Bonjour à tous et à toutes
Voici je viens de créer mon blog ou je mettrai des informations, des interviews qui me sembleront pertinentes afin de bien comprendre le monde qui nous entoure. Aussi je rédigerai des articles ou je ferai part de mon avis, sur certains sujets.
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